Misericordia

Lidia Jorge

Thomas Mann, Bruno Schulz, Paul Gadenne ou Knut Hamsun ont tous écrit un chefs-d’œuvre dont le thème était la vie en sanatorium ; Lidia Jorge fait la même chose avec la maison de retraite : sans aucun misérabilisme et au contraire avec une certaine noblesse elle transforme ce lieu clos, souvent craint et repoussé, en un monde immense et poétique, inattendu et tonique, presque trépidant, constamment mystique et où tout se passe. Absolument tout.


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